AYTA ( création 2024)
« Youness Aboulakoul a associé à ses notes une danse radicale, épurée ou la recherche de verticalité, exclue toute horizontalité de gestes, réduisant les mouvements de bras….Ayta ne discourt pas, il met en situation. Cette mise en scène se veut état à vivre, sororité de sens, duplication d’émotions fortes reportées du propos à la salle ». Marie Anezin Cult-news
« l’artiste creuse jusqu’à l’os une écriture lancinante, répétitive qui ne demande qu’à gronder et exploser en mille morceaux sa propre trame. …Clairement très aboutie, gonflée d’un dynamisme fiévreux autant que très maitrisée, la proposition de Youness Aboulakoul remporte tous les suffrages….… C’est debout que le public avignonnais acclame cette Ayta hypnotique et transcendantale » Olivier Frégaville-Gratian d’Amore – L’oil d’Olivier
"La communauté construite autour du chorégraphe porte une pièce forte qui se fait l’écho de notre monde, celui de tous les tremblements et de toutes résiliences. » Laurent Bourbousson- Ouvert Aux Publics
https://cult.news/scenes/danse/ayta-youness-aboulakoul-plie-sans-se-soumettre-aux-hivernales/
https://www.loeildolivier.fr/2024/03/les-hivernales-2024-la-danse-contemporaine-dans-tous-ses-etats/
https://ouvertauxpublics.fr/vu-le-corps-plie-mais-ne-rompt-pas-dans-ayta/
Mille Miles ( création 2022)
« Le langage chorégraphique de Youness Aboulakoul est précis, habité, très maîtrisé. Il y a dans sa proposition quelque chose de lancinant et de méditatif qui s’inscrit dans une démarche esthétique en même temps que philosophique. L’environnement lumière et son, la façon dont les danseurs habitent l’espace et le sculptent, ouvrent sur une subtile poétique du geste au style pluriel.. . Le spectacle ouvre sur une notion de contemplation-réflexion qui donne le vertige des seuils, frontières et territoires. » Brigitte Rémer, Ubiquités culture(s)
« Youness Aboulakoul signe une somptueuse pièce visuelle dont la chorégraphie glisse entre de multiples univers sans jamais faire appel à la violence ou au conflit, mais redéfinit au contraire un nouveau monde empreint de paix et de sérénité - un beau rêve ! » Sophie Lesort, Danser Canal historique
« Dans une ambiance cinématographique entre féérique et lugubre, cinq hommes défilent parfois en solo, parfois en quintet, avec des corps qui s’entrechoquent, se rejettent ou se guident délicatement. Traversant mort rituelle, naufrage ou franchissement des frontières, corps et objets évoquent obsessivement, sous la pulsion de la musique électronique et traditionnelle marocaine, la figure de la ligne : ligne d’horizon, ligne de fuite, ligne de démarcation… Scénario sombre auquel les cinq danseurs opposent une résistance à travers des nombreuses tentatives de faire communauté. Beatrice Lapadat / maculture
https://www.maculture.fr/critiques/mille-miles/
https://dansercanalhistorique.fr/?q=content/mille-miles-de-youness-aboulakoul
https://www.journal-laterrasse.fr/mille-miles-de-youness-aboulakoul/
https://www.ubiquité-cultures.fr/mille-miles/
Today Is a Beautiful Day ( création 2020 )
TODAY IS A BEAUTIFUL DAY (création 2019)
« Une transposition plastique et physique qui emporte » Rosita Boisseau, Télérama
« … un artiste bourré d’imagination est capable de faire rêver une salle entière. (…) Entre morceaux dansés et inventions originales, le chorégraphe, perforer et musicien décloisonne les pratiques entre les arts performatifs, visuels et sonores. (…) Cette délicieuse et délicate forme d’expression artistique … (…) Enchanté par cette pièce troublante et singulière, le public quitte la salle rang par rang et ne peut malheureusement pas féliciter l’artiste étant donné qu’il est interdit de stationner dans le hall du théâtre. » Sophie Lesort, Danser Canal historique
https://dansercanalhistorique.fr/?q=content/today-beautiful-day-de-youness-aboulakoul
https://www.maculture.fr/entretiens/aboulakoul-beautiful-day/
https://dansercanalhistorique.fr/?q=content/quand-les-hommes-dansent-contre-la-violence
https://www.ubiquité-cultures.fr/today-is-a-beautiful-day/
https://mydeconstructiontour.over-blog.com/2020/11/la-violence-sourde-de-youness-aboulakoul.html